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Les réflex Minolta Dynax/Maxxum 700si et 800si

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Mes vrais premiers pas dans la photographie (après les étapes quasi-obligatoires que sont le compact et le prêt d'un réflex par un ami) datent de l'époque à laquelle j'ai acheté mon propre matériel. Ce choix a été le résultat d'un longue période d'information et de comparaison, en fonction de mes ambitions et surtout de mes moyens financiers. Même à 17 ans, on ne dépense pas facilement 5'000 FF durement gagnés par le biais de jobs d'été peu rémunérateurs…

Mon premier réflex

Je pratique de manière amateur la photographie depuis mon adolescence, sous l'impulsion d'un ami. J'ai acheté un réflex argentique Minolta Dynax 700si en 1995 (le numérique en était à ses balbutiements et ne présentait aucun intérêt à l'époque), que j'ai ensuite revendu pour acheter un 800si d'occasion sur ebay. Le 800si est une évolution du 700si, qui visait essentiellement à gommer les défauts de conception de ce dernier. Le 800si était considéré comme un appareil photo semi-professionnel, très complet au niveau des fonctionnalités, ergonomique et facile à utiliser.

Le Minolta Dynax 700si

Mon choix de l'époque s'était porté sur Minolta, à cause de sa réputation de fabricant d'appareil photographique, une étude comparative avec les moyens de l'époque (magazines papier…), et la volonté de disposer de matériel de qualité offrant de nombreuses possibilités de création, à un prix raisonnable. À l'époque, Minolta faisait un carton avec les Dynax 600si classic, un réflex très ergonomique grâce à ses molettes de sélection, combinées à une utilisation simple mais efficace, un prix attractif, et une gamme complète d'optique. Néanmoins, j'aspirais à davantage de possibilités techniques, et mon choix s'est porté sur le modèle supérieur, alors haut-de-gamme de Minolta : le Dynax 700si

Les concurrents potentiels étaient (de mémoire) Canon, avec son EOS 5 ou EOS 50, et Nikon, avec son F70. Le Minolta 700si semblait être le meilleur compromis qualité/prix/possibilité.

Caractéristiques du Minolta Dynax 700si

Obturateur

Le 700si était un appareil complet pour son époque, avec certaines caractéristiques techniques spécifiques à Minolta, un fabricant très novateur.

Le 700si est équipé d'un obturateur pouvant fonctionner sur une plage de 30 secondes à 1/8'000ème de seconde, avec une synchro flash de 1/200ème de seconde. De ce point de vue, il est inférieur à son ancètre le 9xi, dont l'obturateur pouvait monter à 1/12'000ème de seconde, avec une synchro flash au 1/300ème de seconde. D'ailleurs, je pense que les Minoltistes de l'époque espéraient voir un jour le Dynax 900si… Mais le 700si offrait cependant des possibilités intéressantes au flash, dont son aîné le 9xi n'était pas pourvu à l'époque.

Flash

Le 700si est équipé d'un flash intégré de puissance modeste (normale pour ce genre d'équipement), avec anti-yeux rouges et synchro flash à 1/200ème de seconde.

Minolta a été l'un des premiers fabricants à proposer la synchro flash haute vitesse (HSS), qui permet d'outrepasser les limites imposées par la synchro flash de l'obturateur. Avec la synchro HSS, on pouvait désormais utiliser le flash jusqu'au 1/8'000ème de seconde ! À condition toutefois d'avoir un flash compatible avec cette fonctionnalité (3600 HS ou 5400 HS). La synchro haute vitesse est utile pour déboucher les ombres en plein jour, en contre-jour par exemple. Mais sa portée est limité.

L'appareil permettait aussi de gérer des flashes à distance, sans fil (toujours sous réserve que le modèle de flash le permette…). Cette liaison infrarouge permettait aussi de répartir la fraction de lumière électronique pour la prise de vue, typiquement 1/3 via le flash intégré, 2/3 par le flash externe.

À noter que Minolta a fait le choix de développer une griffe de flash propriétaire et non standard (mais je crois que des adapteurs existent).

Mesure de la lumière

La mesure de la lumière s'effectue par nid d'abeille (14 zones), avec possibilité de spécifier une prépondérance centrale, voire d'effectuer une mesure très ponctuelle avec la fonction "spot" (mesure sur la seule cellule centrale, activé par une touche dédiée ou par un réglage global). Une touche AEL permet de mémoriser la mesure de lumière lorsque su'elle est activée.

La mesure de lumière est plutôt précise, je l'ai rarement prise en défaut, même à contre-jour.

Autofocus (AF)

L'appareil est équipé d'un autofocus multizone (4 zones, plus une plage large). La mise au point est réalisée par dialogue avec l'électronique de l'objectif, le moteur AF est intégré au boîtier. L'autofocus est plutôt vif (sans atteindre les performances d'un Canon USM), mais aussi relativement bruyant. Il montre ses limites dans les classiques scènes peut contrastées, très éclairées ou très sombres (même si dans ce dernier cas il s'en sortait honorablement grâce à un puissant illuminateur AF infragrouge - par opposition aux "lampes" d'assistance AF que l'on trouve fréquemment sur les matériels actuel.
Via une petite manip, on peut régler le comportement de l'autofocus : ponctuel ou continu. On peut aussi choisir la zone de mise au point (en sélectionnant l'un des 4 capteurs AF à utiliser). Il est aussi possible de choisir le comportement de l'autofocus au déclenchement : priorité AF pour maximiser les chances d'avoir une photo nette, ou priorité au déclenchement pour diminuer au maximum le temps de latence dû à la mise au point, au risque d'avoir des photos floues. Cette fonctionnalité est extrèmement intéressante, notamment en photographie sportive.

Bien évidemment, l'AF est débrayable. En manuel, on dispose d'un témoin de mise au point, cependant, la mise au point est assez délicate, puisque le viseur d'origine ne comporte pas de microprisme d'assistance.

La mise au point est classiquement verrouillée en appuyant à mi-course sur le déclencheur.

Le viseur

Le viseur est plutôt clair et agréable, il n'est pas surchargé. Il couvre la quasi-totalité de la prise de de vue (qui de toute façon est rognée lors du développement des labos). Le miroir est équipé d'indicateurs à cristaux liquides pour les zones autofocus et la mise au point spot. Une zone LCD verte, située au bas du viseur, donne les informations sur la vitesse d'obturation, l'ouverture de l'objectif, un témoin de mise au point, et un témoin d'état du flash (activé, en charge, anti-yeux rouges, haute vitesse, etc.). On a aussi à disposition un écran LCD externe, qui a le défaut de ne pas être rétro-éclairé, est qui est donc inutilisable pendant les prises de vue nocturnes. De même; les informations affichées sur le miroir ne sont pas visibles en basse lumière.

Le viseur n'est pas équipé d'un correction dioptrique, utile en particulier à ceux qui portent des lunettes.

Prise de vue et déclenchement

Comme on l'a déjà évoqué, l'appareil peut être configuré en priorité AF ou priorité déclenchement. Les réglages de prise de vue vont du "tout automatique" au "tout manuel", en passant par les classiques priorité vitesse, priorité ouverture, décalage programme. L'appareil n'intègre pas de programmes résultats (des programmes spécifiques dédiés à des prises de vue particulières (photo de nuit, sport, portrait, etc.) : ces fonctionnalités sont disponibles via des cartes programmes, optionnelles.

Le 700si a une fonction mémoire, qui permet de sauvegarder un jeu de paramètres définis par l'utilisateur, ce qui est bien utile. Il est possible de stocker davantage de configurations personnelles par des cartes programmes optionnelles.

Le 700si est pourvu d'un moteur qui permet d'atteindre une cadence de prise de vue de 3 images/seconde en rafale. Ce qui est largement suffisant, surtout quand on paie ses pellicules…

Le déclenchement est relativement bruyant, on entend bien le "clac" caractéristique.

Ergonomie et prise en main

Le 700si est un appareil facile à prendre en main, sous réserve d'avoir quelques notions photographiques et d'avoir lu le manuel (au demeurant facile à comprendre). Il mérite sa dénomination de matériel "semi-pro" : il est agréable à utiliser pour les amateurs avertis, mais il n'est pas en mesure de combler un utilisateur professionnel.

Les commandes tombent bien sous la main, les boutons sont finalement peu nombreux. Les fonctions globales les moins sujettes à changement sont cachées dans une petite porte sur la droite du boîtier, ce qui est plutôt judicieux pour un usage quotidien, à défaut d'être très pratique quand on a effectivement besoin d'utiliser lesdites fonctions.

Les réglages de paramètres (ouverture, vitesse d'obturation) s'effectuent par 2 molettes bien placées, utilisables avec l'index (voire le majeur), et le pouce.

Le poids est raisonnable, le toucher est agréable, la qualité de construction est correcte. À noter la présence de l'« eye-start », un capteur infrarouge qui détecte lorsque le viseur est porté à l'œil, et qui évite de rendre l'AF un peu fou lorsque l'appareil est sous tension et inutilisé, pendu à sa dragonne, par exemple.

Accessoires de série

L'ensemble de base est forcément chiche : petite dragonne, obturateur d'oculaire (à monter à la place de l'œilleton d'oculaire pour éviter les lumières parasites lorsque de prises de vue en pose longue), et capuchon de griffe de flash. Les batteries utilisées sont des modèles au lithium, fort chers.

Accessoires optionnels

En dehors des cartes programmes que nous avons déjà évoquées, et que nous n'allons pas détailler ici, il existe plusieurs accessoires complémentaires qui peuvent s'avérer bien utiles.

Grip vertical VC-700

Ce grip vertical est un accessoire génial, qui double les commandes essentielles de l'appareil, pour faciliter la prise de vue verticale (déclencheur, touches AEL et spot, molettes). Le point fort de cet équipement est qu'il permet l'utilisation de piles AA standards. L'inconvénient est que le tout commence à devenir encombrant et lourd. La VC-700 était vendue au prix exhorbitant de 1'000 FF, que j'ai heureusement pu obtenir gratuitement, en négociant un soir d'inauguration de la FNAC de Belfort…

Flash

L'utlisation des fonctions flash avancées implique d'avoir un 3600 ou 5400 HS. Je m'en suis procuré un d'occasion, qui a peu servi avant de rendre l'âme et de m'en procurer un deuxième bien plus tard, d'occasion également. Ce flash dispose de possibilités exceptionnelles, faciles à utiliser et qui offrent un grand potentiel créatif : pilotage à distance sans fil, tête zoom 24-105 mm, mesure TTL, stromboscope, puissance réglable, tête orientable, etc. Très pratique, mais vraiment très cher au prix du neuf.

Cordon de déclenchement à distance

Ce type de cordon, également vendu à prix abusif, est fort utile pour les photos sur trépied. Grâce à ebay, il a été possible d'en trouver d'occasion (10 m) à prix raisonnable.

Trépied

Le trépied n'est pas un accessoires propre au matériel Minolta. L'usage ponctuel que j'ai de ce genre de matériel m'incite à choisir un trépied léger mais de hauteur raisonnable, et facilement réglable. On trouve des modèles sympas et pas cher sur ebay.

Les objectifs et zoom Minolta AF

J'ai eu plusieurs objectifs et zoom pour accompagner mon réflex, quasiment tous achetés d'occasion. L'offre Minolta est large, et certains fabricants d'optique photo (Sigma, notamment), proposent du matériel de qualité correcte à des coûts raisonnables.

Les zooms motorisés de la série xi

Pour accompagner mon 700si, j'avais fait l'acquisition d'un zoom Minolta AF 28-105 xi d'occasion, à motorisation électrique. Le zoom en lui-même était de bonne facture et de bonne qualité optique. La gamme de focale couverte par ce zoom le rend très polyvalent.
La gamme xi de Minolta est une gamme d'objectifs AF, dont les bagues de zoom et de mise au point sont motorisées (moteur électrique interne). Sur un réflex, cette technologie est un non-sens : le seul avantage qu'elle procure a priori est la fonctionnalité de cadrage constant, c'est-à-dire que l'appareil photo peut piloter le zoom de manière à ce que le sujet conserve la même importance (même taille sur l'image). L'utilité de cette fonction est anecdotique, et en pratique le fonctionnement n'est pas maîtrisé (le sujet doit se déplacer ni trop vite, ni trop lentement), elle n'est donc pas exploitable en tant que telle. Bref, c'est un flop…
En clair, la technologie de zoom motorisé n'offre pas d'avantages pratiques. En revanche, les inconvénients sont nombreux :

Bref : aucun avantage, que des inconvénients. Le verdict est sévère, mais il est sans appel. Les zooms motorisés xi sont du matériel à éviter. J'ai revendu le mien peu de temps après l'avoir acquis, et j'ai acheté un Sigma 28-70 mm f/2.8.

Zoom Sigma 28-70 mm f/2.8

Ce zoom à grande ouverture est vendue une bouchée de pain par rapport à son homologue Minolta. Évidemment, la qualité d'optique n'est pas comparable, mais elle est suffisante en usage amateur. Le zoom est de bonne facture et agréable à utiliser.
La distorsion est présente en mode grand angle. La qalité optique est plutôt moyenne : l'image manque un peu de contraste, l'aberration chromatique est présente (elle se traduit par un effet "moutonneux" pour les zones riches en détails - arbres, prairies, etc.). L'autofocus est assez lent, relativement bruyant : le groupe optique mobile a l'air assez lourd. La lentille frontale est mobile lors du zooming et de la mise au point, mais pas le pare-soleil, qui est assez peu efficace en mode grand-angle.
Cela dit, l'ouverture de f/2.8 est bien pratique en usage quotidien. En dépit de ses défaut, ce zoom est un bon petit trans-standard.

Zoom Minolta 50 mm f/1.4

Un objectif standard à grande ouverture. Conception un peu vieillissante, mais excellente qualité optique. Autofocus bruyant mais réactif (grâce à la grande ouverture). Il y a un petit pare-soleil coulissant intégré (c'est rigolo, mais pas forcément efficace). Acheté d'occasion pour ~ 70 € à l'époque, la cote de ce zoom sur le marché de l'occasion n'a pas baissé, bien au contraire !! Cet objectif est tout petit, extrêmement agréable à utiliser en basse lumière ; la grande ouverture permet d'avoir des flous d'arrière-plan qui mettent bien en valeur le sujet. J'adore cet objectif et son rendu.

Zoom Minolta 70-210 mm f/4

J'ai acheté assez tardivement un téléobjectif. Je voulais une ouverture correcte à défaut d'un fort grossissement, et un prix raisonnable. Ce zoom était réputé pour sa bonne qualité optique (pas de traitement apochromatique), et je l'ai trouvé d'occasion sur ebay. L'ouverture est un peu limite quand la lumière se fait rare, mais la qualité d'image est réelle. L'AF est poussif (conception ancienne) : ce zoom n'est pas vraiment adapté pour la photo de sport…

Critiques sur le Minolta Dynax 700si

Critique générale

En son temps, le 700si représentait pour moi le meilleur compromis. La gamme d'objectifs que j'ai réussi à me constituer me paraît homogène, même si j'aurait aimé avoir un plus grand angle (le 24-85 mm de Minolta, par exemple). avec les accessoires (flash, poignée VC-700, etc., et quelques jeux de piles), l'ensemble devient encombrant et lourd : trimballer le matériel pendant de longues ballades peut s'avérer gênant. Je ne parle pas du camping sauvage, quand il faut trimballer les quelques kilos de matériel photo en plus du matériel de camping.
Finalement, un tel attirail est plutôt destiné à la photo de tourisme, de ballades, de sport-nature, de portait et d'événements, mais devient vite contraignant pour le baroudeur.

Points forts du Minolta Dynax 700si

Points faibles du Minolta Dynax 700si

Ne vous fiez pas au nombre de points faibles supérieur à celui des points forts… Le bilan est positif malgré tout : les points faibles sont plutôt du niveau du détail…
En bref, le 700si est un appareil homogène qui mérite son classement en catégorie semi-professionnelle. Minolta a cependant fait de mauvais choix, comme les cartes programmes pour certaines fonctionnalités qui auraient dû être intégrées en série, et d'autres qui sont totalement absentes (volonté ou omission ?).

Le bon point est que la sortie ultérieure du 800si visera à corriger ces défauts. Et y parviendra.

Le Minolta Dynax 800si

L'ambition du 800si était de corriger les défauts du 700si. Il semble de ce point de vue que Minolta a été très à l'écoute de ses utilisateurs.
Là où on s'attendait à ce que Minolta perdure dans la tradition des modèles au nom commençant par un nombre impair, Minolta rompt une nouvelle fois cette tradition (il l'avait déjà fait avec le 600si classic), et sort le 800si. Les afficionados s'attendaient plutôt à un 900si, un mix entre le 700si et le 9xi.
Le message est clair : le 800si ne vise pas à remplacer le 9xi, mais constitue une évolution du 700si. On ne retrouvera pas le fameux obturateur du 9xi (1/12'000ème de seconde, synchro flash au 1/300ème).

Caractéristiques du Minolta Dynax 800si

La base étant comparable au 700si, on ne mentionnera que les différences avec celui-ci.

Obturateur

Pas de nouvelle de ce côté-là, en dehors de la synchro flash sur le second rideau.

Flash

La synchro flash sur le second rideau est ajoutée. Mais la grande nouveauté est le flash intégré : c'est la première fois qu'un réflex intègre un flash avec une tête zoom (24-85 mm), et une telle puissance (NG 24 à 85 mm !). Minolta continue d'affirmer sa supériorité dans le domaine du flash. Une prise flash externe est ajoutée.

Mesure de la lumière

Pas de nouveauté réelle, mais un changement ergonomique mineur sur les commandes de mémorisation de l'exposition. Je préférais la manière du 700si.

Autofocus (AF)

Pas de nouveautés.

Le viseur

Il reprend le concept de celui du 700si, mais renvoie l'essentiel des informations dans la zone inférieure (éclairée). C'est une bonne chose.
L'écran extérieur est rétro-éclairé. Minolta a bien retenu la leçon.

Prise de vue et déclenchement

Ajout des programmes résultats, et de nombreuses fonctionnalités qui étaient auparavant proposées via les cartes programmes. Minolta abandonne donc définitivement les cartes programmes.

Ergonomie et prise en main

L'ergonomie est globalement proche de celle du 700si, mais de petits détails évoluent (et irritent le possesseur de 700si) : gestion de la correction d'exposition, notamment. Un bon point : le grip vertical optionnel VC-700, qui double les commandes et accepte les piles classiques (AA) est compatible !!
Il est désormais possible de mémoriser 3 configurations personnelles, et de personnaliser le comportement de certaines commandes. Idées appréciables.

Accessoires de série

L'équipement de base est le même que celui du 700si.

Accessoires optionnels

Les accessoires du 700si sont compatibles avec ceux du 800si.

Critiques sur le Minolta Dynax 800si

Critique générale

Le 800si est une évolution, pour ainsi dire un aboutissement : en reprenant la bonne base du 700si, et en corrigeant ses défauts, Minolta a réussi à proposer un boîtier performant, complet, agréable et homogène.

Points forts du Minolta Dynax 800si

Points faibles du Minolta Dynax 800si

Pas grand chose à redire, en fait. J'aime ce boîtier et je regrette de ne pas l'avoir eu plus tôt (je l'ai acheté sur ebay à 200 €), et de ne pas avoir eu plus d'occasion de l'utliser.

Conclusion

Mon choix initial du 700si était un choix raisonné, effectué en toute connaissance de cause. Le passage au 800si m'a comblé : je disposais enfin d'une panoplie complête et réfléchie, offrant de nombreuses possibilités techniques et créatives.

Oui, mais entre temps, nous sommes passés dans l'ère du numérique. Minolta, l'un des précurseurs en la matière (notamment avec l'excellent réflex numérique grand public Dynax 7D compatible avec la monture AF) a souffert de cette révolution. Et abandonne finalement son activité de matériel photographique, après des décennies d'innovation dans le domaine, pour se concentrer sur la bureautique et l'imagerie médicale. Tout n'est pas si noir : Sony récupère l'activité photo, et assure la compatibilité avec la gamme d'objectifs AF.

Après quelques années d'attente et de maturation du marché de l'appareil photo numérique, en 2007 je considère que la qualité des images est désormais suffisante et que je peux décemment m'y intéresser. Vu mon équipement argentique, je commence tout d'abord à m'intéresser à la gamme réflex de Sony, constituée à l'époque du seul Alpha 100. Pour finalement me rabattre sur le bridge Panasonic FZ50.

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